Summer School on the Geopolitics of Natural Resources

Énergie électrique et éoliennes

La Summer School on the Geopolitics of Natural Resources est organisée avec The School of Public Policy de l'Université de Calgary.  

Objectifs: Ce rendez-vous annuel outille de futurs leaders et des jeunes professionnels québécois et albertains afin qu’ils deviennent les experts de demain sur la géopolitique des ressources naturelles. 

 

Grandes lignes

Quoi

  • Cette formation, conçue par des scientifiques du Québec et de l’Alberta, accueille une vingtaine d’experts invités reconnus internationalement dans leur domaine. Ils et elles proviennent du terrain-ce sont des praticiens-ou du réseau universitaire.
  • Cette école est un cours (ETI-7032) de 3 crédits. Elle peut être suivie en mode non crédité. 
  • Elle fait partie des cours qui composent le microprogramme en affaires diplomatiques et stratégiques. Il est donc possible d’entamer ou de poursuivre celui-ci en suivant cette école.  

Quand et où

  • Au mois de mai, à l’Université Laval (années paires) ou à Calgary (années impaires)
  • 1 semaine intensive : 5 ou 6 jours selon les années

Pour qui

  • Étudiants de 2e et de 3e cycle
  • Professionnels du secteur public ou parapublic, ainsi que du secteur privé
  • Les étudiants qui terminent leur 1er cycle (60 crédits accomplis) peuvent être acceptés à certaines conditions

Comment

  • Les problématiques sont abordées à la lumière de la pluridisciplinarité: science politique, droit, économique, géologie notamment
  • Le format pédagogique allie conférences, tables rondes ou débats, ateliers, séminaires, simulations, sorties sur le terrain et activités publiques de réseautage

Pourquoi

  • Les ressources naturelles, et en particulier les ressources énergétiques, ne sont pas de simples produits commerciaux. Le développement d’une société mais aussi sa puissance politique sur la scène internationale ont toujours été étroitement liés à la gestion de ses ressources. L’enjeu géostratégique des ressources naturelles est donc majeur : une prospérité soutenue dans un monde paisible et viable.  
  • Mais ce secteur est en pleine ébullition et les tendances mondiales sont parfois contradictoires. L’offre des ressources naturelles est à la hausse, la croissance mondiale ralentit et il y a augmentation des coûts de production et des risques associés aux facteurs géopolitiques. Le défi climatique s’accentue et la montée en puissance des classes moyennes accroît la demande globale.  
  • Les citoyens se posent des questions et l’industrie presse les gouvernements de passer de l’exploration à l’exploitation, de faciliter le transport et le commerce mondial.